Christophe fait de sa Dandy un daily
Le bonheur. C’est lui, c’est le bonheur qui nous pousse à retrouver nos amis pour modifier les motos dans la rue sous le soleil, ou encore rouler en Bobber, sortir l’enduro en duo, se déplacer en moto électrique dans Paris (pardon ?). Christophe adore s’enrichir de tous les moments de plaisir qu’une moto peut apporter. En l’écoutant nous parler, nous devinions bien que sa venue chez BAAK était inévitable.
En réalité Christophe connaît BAAK depuis 6 ou 7 ans maintenant. Ce sont toutes ses expériences à moto qui de fil en aiguille l’ont amené ici, dans nos ateliers à Lyon.
Christophe commence avec une CR80 près d’Avignon. À partir de là, utiliser intensément une moto ne l’effraie plus beaucoup. À Paris ensuite pour raisons professionnelles, on roule utile.
Après avoir possédé une Harley et constaté que même pour une courte distance, à deux, ce n’est pas optimal, Christophe s’achète une moto électrique pour les trajets quotidiens et des duos plus confortables. Il paraitrait que lors de la revente, le kilométrage était sensiblement le même qu’à l’achat. « Zéro émotions en électrique », et ce n’est pas nous qui le disons !
Christophe cherche alors une moto pouvant transporter deux personnes avec aise.
Point important : il faut aussi que sa machine lui redonne des émotions, un feedback, qu’elle vive et qu’elle soit sienne, unique donc. Lorsque Christophe se rend à Lyon et pousse la porte des ateliers de BAAK, l’immersion est immédiate. Il est plongé dans cette atmosphère qui allie showroom, lieu de vie et atelier, où il n’y a rien à cacher, où le savoir-faire des artisans côtoie les créations originales.
Commence alors l’écoute.
L’équipe de BAAK écoute attentivement Christophe, comprend ses motivations, ses désirs, ses besoins. Nous irons jusqu’à lui faire rendre compte que son premier choix, la Bobber full black n’était finalement pas ce qu’il cherchait. Sous nos conseils, Christophe choisira la Dandy Bonnie ! Le cadre posé, vint ensuite le choix des matériaux, des couleurs, des détails et finitions.
C’est en prenant le temps d’échanger avec les artisans, en écoutant leurs conseils, en touchant les matières, les cuirs, et en constatant la qualité des travaux de peinture que les choix se valident les uns après les autres. Notons que Christophe a mis un peu plus d’un mois à choisir la teinte et la subtilité de la peinture du réservoir… Elle sera finalement comme sa Mustang Cabrio de 68 qu’il restaure, vert Bullitt : match !
La moto est aujourd’hui livrée, notre ami est très certainement en train de profiter de sa nouvelle extension. « Tu ne choisis pas BAAK par hasard » conclut Christophe.
Et pour les plus observateurs d’entre nous, le réservoir présente une subtilité… éponyme. On n’en dit pas plus.