Accueil > Le blog > Au guidon de la Royal Enfield Interceptor 650 Street Tracker
2 décembre 2020

Au guidon de la Royal Enfield Interceptor 650 Street Tracker

Il est 15h10. Dernier check avant livraison d’un Street Tracter d’exception… Le temps d’écrire une page du livre qui prend corps avec Marc Antoine, le nouveau propriétaire de cette Royal Enfield 650 Interceptor.

L’histoire a commencé quelques semaines plus tôt …chez BAAK à Lyon. Après quelques années sans rouler, Marc Antoine, accro des belles mécaniques, cherche une machine facile à piloter, maniable et surtout avec une personnalité affirmée, pour profiter à nouveau d’un environnement que tout motard lui envierait : les routes des Alpes au pas de sa porte. Marc Antoine, rencontre notre équipe d’artisans-créateurs et tout naturellement, c’est un Street Tracker qui colle à la peau de notre PetrolHead ! Cette Royal Enfield 650 Interceptor, par la souplesse de son moteur, son gabarit contenu, son esthétique très personnelle, acquiert ses lettres de Noblesse et fera de Marc Antoine un passionné de plus dans le Clan BAAK !

(Re)Découvrez nos accessoires pour Royal Enfield 650

Pour cet essai, nous n’avons malheureusement pas pris la route des Alpes mais nous sommes cantonnés à une balade à travers Lyon, au soleil de fin de journée.

Pour cet essai, pas de plaisir solitaire, c’est la Triumph Thruxton 1200 Tracker qui accompagne la Royal Enfield de Marc Antoine. Casques attachés, gantés, nous enclenchons la première et prenons la route.

La sonorité grave et ronronnante de notre ligne d’échappement courte s’exprime sans excès et avec enthousiasme au passage sous le premier tunnel ; rendant l’expérience vécue au guidon radicalement différente.

En cette période de confinement, les rues presque désertes de Lyon nous laissent la place d’apprécier le comportement routier de cette Interceptor 650 : sécurisante et vive, on se sent immédiatement en confiance à son guidon. Les commandes tombent naturellement sous les mains grâce à notre kit guidon Flat Track qui garantit une position plus confortable et une excellente maîtrise de l’engin.

Après quelques minutes de rêve à profiter de ces deux machines, nous marquons un arrêt pour les admirer et partager nos expériences. Sur L’Interceptor, on retrouve les codes esthétiques qui font la singularité de l’esthétique BAAK. Un gros travail a été mené sur l’harmonie générale des lignes et la cohérence de l’ensemble pour cet engin d’exception. La moto s’apprécie particulièrement lorsqu’on prête attention à tous les détails de finition dont elle fourmille : les sangles de plaque phare accordées au cuir brun de la selle, des soufflets et de la sacoche, les moulures que l’on retrouve sur les garde-boues, le poste de pilotage épuré par le choix d’un mini compteur et de rétroviseurs sous guidon laissant la vue sur la route, la peinture d’un bleu profond métallisé…Julien Demaugé-Bost

L’Esprit TRACKER s’exprime aussi clairement sur la base de cette Triumph 1200 Thruxton. Plus puissante, plus impressionnante par son moteur ultra coupleux, c’est une moto vivante et dynamique qui ne demande qu’à exprimer tout son potentiel séduction sur des routes plus « péchues ».

Nous sommes là au guidon de deux machines À VIVRE, si bien qu’il nous est difficile d’en céder le guidon pour rentrer à l’atelier en fin de journée après ces minutes d’évasion. Un instant d’évasion qui marque une étape important dans l’histoire de Marc Antoine et de sa moto, qu’ils continueront d’écrire ensemble.

Bienvenue dans la famille Marc-Antoine, et bonne route !